Longe-côte - Pilates - Danse

Retraites Yoga/Pilates et longe-côte de NandiniWavesDanse
Les weeks-ends de la forme, spécial nouvelle année
La santé sans le sport, est-ce possible ?

Les ateliers de danse Afro-Urbaine

par | Oct 29, 2024 | Articles, Danses Urbaines

L’amapiano, une danse urbaine d’Afrique du Sud

L’Amapiano, c’est d’abord un genre musical ayant émergé dans les années 2010 dans les faubourgs d’Afrique du sud. Mélange de rythmes Zulu, de jazz, de deep house. Comme souvent, ce genre musical a favorisé l’éclosion d’une danse à part où se mêlent des pas issus des danses Zulus, mais pas seulement. 

Quand j’ai découvert cette danse, cela m’a rappelé mes cours de danse Africaine au Centre du Marais (Paris) avec Ana Camara. Mais j’ai aussi reconnu des pas, des attitudes issus du Hip-Hop et d’autres danses urbaines. C’est ce mélange entre tradition et modernité qui fait toute la saveur de l’Amapianio.

L’Amapiano, c’est d’abord un genre musical ayant émergé dans les années 2010 dans les faubourgs d’Afrique du sud. Mélange de rythmes Zulu, de jazz, de deep house. Comme souvent, ce genre musical a favorisé l’éclosion d’une danse à part où se mêlent des mouvements issus des danses Zulus, mais pas seulement.

Quand j’ai découvert cette danse, cela m’a rappelé mes cours de danse Africaine au Centre du Marais (Paris) avec Ana Camara. Mais j’ai aussi reconnu des pas, des attitudes issus du Hip-Hop et d’autres danses urbaines. C’est ce mélange entre tradition et modernité qui fait toute la saveur de l’Amapianio.

Comment se déroule un atelier d’Amapiano ?

L’atelier se déroule en 3 parties :

  1. Echauffement,
  2. Développement,
  3. Retour au calme.

1. L’échauffement

Comme dans toute séance de sport, l’échauffement est primordial pour profiter au mieux de la séance. Je propose un travail articulaire détaillé, car comme dans le Hip-Hop, l’ensemble des articulations est actif dans cette danse, notamment la zone des épaules, extréêmeent sollicité dans notre quotidien mais à mauvais escient (dos  arrondi, cou rentré, etc.).

Croyez-moi, en pratiquant régulièrement ces danses, vous allez voir disparaitre vos douleurs de cervicales, épaules, dos et vous allez acquérir une belle souplesse articulaire. Pour moi, c’est le remède préventif et curatif idéal à l’arthrose et autres pathologies qui peuvent commencer dès l’âge de 40 ans chez certains.

L’échauffement sert aussi à réveiller notre système cardio-respiratoire mis à contribution dans ces danses, ce qui en fait une discipline sportive complète.

2. Le coeur de séance

À l’instar des cours de danse africaine, on se répartit en ligne de 3 ou 4 selon le nombre d’élèves pour exécuter des pas ou des séquences de pas en se déplaçant. Le maître mot de ce cÅ“ur de séance est le lâcher-prise. Chacun « se lance dans la danse » , selon ses possibilités. Le fait d’être obligé de suivre le mouvement, sans se poser de questions,  facilite justement ce relâcher. De  plus, on est porté par le groupe. On ne danse plus seul confronté à son image mais avec les autres. Et je vois souvent des élèves qui étaient un peu figés lorsque l’on travaillait devant la glace gagner en amplitude, en aisance… et en joie ! C’est bien sûr le moment préféré des élèves.

Coordination, renforcement musculaire, développement cardio-respiratoire sont les principaux bénéfices de ces séances. Mais le plus important, c’est le plaisir qu’elles procurent.

3. Retour au calme

C’est une étape indispensable pour apaiser le système cardio et capitaliser les bénéfices de la séance par des étirements appropriés.

Pourquoi un cours inter-générationnel ?

Dans la tradition africaine, tout le monde danse. Quelque soit son physique, son âge. Il y a de nombreux mouvements qui sont accessibles à tous. Et pour les pas plus difficiles, je propose des adaptations : on simplifie les mouvements complexes, on met moins d’amplitude, on sautille au lieu de sauter, etc. Ce qui compte, c’est de retrouver le plaisir de bouger et, encore une fois, de lâcher prise. Lâcher dans son corps, mais aussi dans sa tête. Avec l’aide du groupe qui est là pour nous encourager et non nous juger.

Précautions à prendre

Ce type de danse n’est pas approprié en cas de  sévères pathologies de genoux ou de dos. Si vos problèmes sont moindres, il faut prendre quelques précautions. Si vous avez des doutes, n’hésitez pas à me contacter.

En tant que sénior qui se respecte, mon corps n’est pas exempt de douleurs. Je préserve notamment mon bas du dos qui est devenu fragile avec les années et mes genoux (articulation fragile et complexe).

À l’instar des populations basques ou savoyardes qui se protégeaient le dos avec des ceintures de flanelle lors des travaux des champs (ah ! le bon sens populaire), je noue souvent un pull en laine autour de mes hanches, notamment lorsque je m’échauffe. Je porte aussi des sous-vêtements serrés afin de soutenir mon bassin et mon plancher pelvien. Attention, la gaine qui vous empêche de respirer est à proscrire !

Pour les genoux fragiles, rien ne vous empêche de porter une genouillère. À l’instar des joggers très actifs, j’en porte souvent lorsque je suis en compétition de longe-côte car, entre la danse et l’entraînement, cette articulation est très sollicitée et me cause des tiraillements. Pareillement, si vous avez des chevilles fragiles, n’hésitez pas à porter  des chevillères.

 

Pour les cours d'Amapiano ou HipHop, NandiniWavesDanse vous conseille de porter des collants thermolactils.

Chauffez vos articulations

Pensez aussi aux collants thermolactyls très efficaces, surtout en hiver. C’est le pendant des jambières en laine des ballerines. Nos articulations ont besoin de chauffage pour fonctionner au top !

À noter que ces conseils ne s’appliquent pas qu’aux séniors. À cause des nos modes de vie contemporaine, je vois de plus en plus de problèmes de dos ou autres chez des sujets plus jeunes. Alors, n’hésitez pas à vous protéger.

 

L’importance du choix des chaussures

Contrairement aux danses traditionnelles, on danse en Ampiano comme en Hip-Hop, en baskets. Mais pas n’importe lesquelles. Le choix des chaussures est primordial pour avoir de bons appuis et protéger chevilles, genoux et lombaires. Bien sûr, pas de chaussures à crampons, mais à semelles lisses et qui tiennent bien la cheville. Attention, aux chaussures trop lourdes qui fatiguent. Dansons le pied ferme mais léger.

Dans mon cours de Hip Hop, certains de mes élèves préfèrent danser pieds nus. D’ailleurs, souvent l’échauffement se fait pieds nus ou en chaussettes, pour développer la proprioception du pied, indispensable pour entretenir nos appuis, nos équilibres et le bon fonctionnement de l’appareil locomoteur en général.

NOTA : prévoir bouteille d’eau, éventuellement une barre de céréales et… une serviette. Hé oui, on peut facilement transpirer en danse Afro-Urbaine,surtout aux beaux jours.

Rejoignez la danse !

  • Dates :

          Trinité-sur-Mer : le 24/11 et le 15/12 de

16h30 à 17h45 (salle Voulien)

          Paris (à venir).

programme de danse Hip-Hop Thérapie de NandiniWavesDanse

 

Tarifs : Adulte : 10 €  Enfant 3 € ( 7-12 ans / 1 enfant par adulte).  Enfant non accompagné / ados : 6 €

 

Ma passion pour les neurosciences appliquées au sport et tout ce qui concerne la santé en général m’inspire chaque mois de nouveaux articles pour nous aider à garder  la forme.

 

Articles Récents

Autres Articles 

0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x